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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 12:35

Précurseur d'une époque où l'homme sent qu'il est un petit rouage d'un mécanisme...

Mécanisme dont les ressorts peuvent broyer des vies alors que le peuple veut tout simplement être ensemble, partager les moments simples de la vie...



bruegel_denombrement.jpg

Dénombrement de Bethléem, de P. Brueghel l’Ancien

la neige est balayée, on se déplace à l’aise sur l’étang gelé car la barrique est prise dans la glace. Des enfants s’amusent : patinage, batailles à boules de neige.

Transférer les évènements bibliques dans sa propre époque et dans un environnement qui était le sien, n'était pas jadis inhabituel, mais parfois les motifs religieux revêtaient une actualité politique. Tel est le cas ici aussi : les non-catholiques étaient contraints à des réunions religieuses clandestines tant que les autorités leur déniaient le droit d'exercer leur religion.

brueghel_triumph_todes.jpg

Le triomphe de la mort

ll apparaît indéniable que des événements effroyables viennent de se dérouler dans ce décor de fin du monde. En même temps qu’il nous semble éprouver la fournaise que dégagent les flammes des incendies de l’arrière plan, nous avons l’impression d’entendre les cris des victimes qui agonisent et de celles à venir qui tentent d’échapper à leur monstrueux destin.

Et comme dans nos pires cauchemars, des corbeaux planent sur l’ensemble de cette scène monstrueuse en attendant le moment où ils pourront se repaître des cadavres déjà déchiquettés.

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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 19:32

Le 17/12/2011,  Cesaria Evora au petit matin est partie , par le coeur elle a quitté la vie, si sur scêne nous ne la reverrons plus , sa musique  et sa voix au grand coeur restera....  Capverdienne Cesaria Evora est décédée dans son île de Sao Vicent, très affaiblie depuis plusieurs mois,  elle avait  abandonné la scène en septembre.. c'est pied nu qu'elle est parti pour être une étoile là d'autres divas l'attendent...Comme une petite fille, elle confiait que ses nouveaux soucis de santé étaient dus à l'abus de "batathinas", des chips portugaises dont la consommation lui était interdite en raison de son cholestérol élevé et de son coeur fragile. "J'ai arrêté, mais je devrais en manger à nouveau pour voir si c'est vraiment ça qui m'a affaiblie", ironisait la diva, qui avait cessé de boire il y a plusieurs années, mais continuait d'allumer cigarette sur cigarette. Voix rauque et chaloupée, elle a popularisé la Morna, la musique du Cap-Vert, auprès du grand public mondial.

Nous resterons sur les mots  qu'elle a prononcés alors que la scêne la quittait

 

 

 

 

 

"Je n'ai pas de force, pas d'énergie. Je veux que vous disiez à mes fans: excusez-moi, mais maintenant, je dois me reposer. Je regrette infiniment de devoir m'absenter pour cause de maladie, j'aurais voulu donner encore du plaisir à ceux qui m'ont suivie depuis si longtemps", avait-elle déclaré au journal français Le Monde lors de l'annonce de son retrait de la scène, le 23 septembre.

"J'ai fait de mon mieux"

"La vie continue, je suis venue vers vous, j'ai fait de mon mieux, j'ai eu une carrière que beaucoup aimeraient avoir", ajoutait-elle, en assurant pourtant que son coeur allait "bien".

Le grand public avait découvert en 1992 cette ancienne chanteuse des bars de Mindello, ville principale de l'île de Sao Vicente et capitale culturelle de l'archipel, grâce à la parution cette année-là de son troisième album, "Miss Perfumado", et de deux concerts triomphaux au Théâtre de la Ville à Paris.

Le succès, tardif pour une chanteuse alors déjà âgée de 50 ans, ne s'était depuis jamais démenti, se propageant à travers la planète.

SOURCE AFP

 

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 14:42

Petit tour dans les années 70... une chanson qui nous dit " comment se retrouver lorsque l'on s'est perdu..."

Enfance de l'art "... la route à l'envers"... retrouver l'enfant qui est en nous!

Merci au blog MUSICALI, cliquez sur ce lien pour en savoir plus

bernard ilous,un parcours mythique sous couvert d' autres noms

 


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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 15:03

" L'âme est une terre lointaine."

Cette œuvre cinématographique est à voir dans son intégralité,  sans concession ni pour les bourreaux, ni pour les victimes, il dépeint l’homme face à l’Histoire avec un grand H et face à sa propre histoire sans aucune concession….  Un film fleuve, en 3 parties sous le titre Welcome in vienna qui signe le retour d'une saga des année 1980 et relate la vie de 3 jeunes ados Autrchiens juifs durant la seconde guerre mondiale.

Dieu ne croit plus en nous, Santa Fe, Welcome in Vienna.

cortiwelcomevienna.jpg

 

L'odyssée de deux soldats juifs américains, l'un, d'origine allemande, l'autre, d'origine autrichienne, qui retournent à Vienne en 1945. L'intégralité de la trilogie saluée par Claude Lanzmann est pour la première fois à l'affiche en France.

PAR DANIÈLE HEYMANN

Journal Marianne 26 novembre au 2 décembre 2011

titre_1160408.jpg

Enfin ! Le continent de la mémoire exploré dans les années 80 par le réalisateur autrichien Axel Corti, disparu trop tôt, en 1993, peut être parcouru tout entier. C'est un voyage de trois fois deux heures qu'il ne faut en aucun cas manquer. Un voyage bouleversant à travers les destins fracassés de juifs chassés d'Autriche par le nazisme, d'hommes et de femmes devenus « émigrants à plein temps ».

 Welcome In Vienna est grande leçon d'histoire, de cinéma et d'humanité, selon Claude Lanzmann, était, on le savait, une trilogie dont seule la troisième partie avait pu être vue. Présenté au Festival de Cannes, le film était resté dix-huit mois en salles. Mais les deux volets précédents, coproduits par les télévisions suisse, autrichienne et française, étaient demeurés inédits en France, séquestrés pour cause de faillites obscures. L'œuvre est désormais rassemblée. Adoptant le noir et blanc qui est celui du passé, le beau passé du cinéma, un noir et blanc qui autorise l'irruption de la réalité avec de brûlantes images d'archives, sans musique, si ce n'est, parfois, en leitmotiv inopiné, quelques mesures du dernier Quintette pour violon de Schubert, comme un sanglot réprimé, Welcome In Vienna suit de très près la vie, la survie de son scénariste, Georg Stefan Troller. Ses fuites, ses errances, ses tenaces espérances. On est emporté dans la cruauté, l'absurdité d'une épopée tragique zébrée d'éclats d'humour noir, où l'on cite Alfred Dôblin, l'auteur de Berlin Alexanderplatz, Stefan Zweig, Walter Benjamin,

Première partie Dieu ne croit plus en nous, tourné en 1982. A Vienne, en 1938, après la nuit de cristal. Ferry Tobler (lohannes Silberschneider), est un adolescent déjà sans âge, son père vient d'être batru à mort, il fuit, il veut fuir. Rafles, courses dans la nuit, partir, il faut partir. Le voilà

à Prague. Il y rencontre Gandhi (le grand Armin Muelier-Stahl), un héros celui-là. Aryen, allemand, résistant antinazi, échappé de Dachau, qui aimera la Tchèque Alena. Partir, il faut partir. Les voici à Paris. Bientôt la guerre. Ferry est juif et parle allemand, tout contre lui. C'est l'exode, pour les juifs, une vieille histoire. Pas de papiers, les trois amis sont arrêtés, séparés, enfermés par les Français dans un camp de rétention. Evasion, rejoindre Marseille, partir encore. Vers l'Amérique, l'ailleurs, le loin. On entend cette réplique si belle: " L'âme est une terre lointaine."  Le ciel est vide.

Autriche, mère blafarde

Deuxième partie Santa Fe, qu'Axel Corti réalise en 1986, en même temps que We!come In Vienna. Santa Fe, comme un fantasme, qu'on ne verra jamais. Que le jeune Freddy Wolf (Gabriel Barylli), débarquant épuisé à New York en 1940, ne verra jamais. li y a d'autres fuites à désirer pour échapper à de nouvelles misères. L'écrivain ne peut plus écrire, car il a perdu les mots de sa langue natale, l'acteur ne trouve qu'un emploi d'imitateur de chiens, Freddy chipe des miettes de biscuit aux écureuils de Central Park, Freddy qui, malgré lui, a le mal du pays, ce pays du mal. Autriche mère blafarde. Il va y retourner, comme soldat. Soldat américain. On entend cette réplique si forte • Ils ne nous pardonneront jamais ce qu'ils nous ontfait. J

Troisième partie Welcome In Vienna, au titre d'une douloureuse ironie. 1945. Revenu en uniforme de vainqueur. Freddy est-il à nouveau un juif de Vienne, ou toujours un « youpin viennois. ? Dans la ville en ruine, toutes les déceptions, les trahisons sont incarnées. Y a-t-il encore un avenir dans cette Europe qui se reconstruit? Et qui, aujourd'hui encore, reste à construire? Magnifique. _

26 novembre au 2 décembre 2011 1 Marianne 1 97

 

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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 22:45


La vie change vite
La vie change en un instant.
On s’apprête à dîner et la vie telle qu’on la connaît s’arrête.

Au théâtre de l'Atelier, à Paris.
L'ANNEE DE LA PENSEE MAGIQUE - PROLONGATION JUSQU'AU 30 DECEMBRE - Durée de la représentation: environ 1h30
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Joan connaît les mots et aime les idées. C’est son travail, son quotidien, celui qu’elle partageait avec John son mari, écrivain lui aussi. Lorsque John s’écroule sur la table de la salle à manger un soir de décembre 2003, victime d’une crise cardiaque, c’est à l’écriture qu’elle s’accroche pour essayer de comprendre l’incompréhensible, de rendre supportable l’insupportable, de continuer à vivre quand ceux qu’on aime le plus au monde vous ont quittés.
Elle nous entraîne dans son « année de la pensée magique », tragique et drôle, au cours de laquelle elle revisite sa vie avec passion et sans complaisance. Un récit intime et fulgurant qui nous renvoie irrémédiablement à nous-mêmes, à nos peurs les plus insondables et à l’instinct de survie qui est en chacun de nous.


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L'année de la pensée Magique (Soirée magique)

Bernard Thomas

Critique de la pièce prise dans le bec du canard enchainé du 16 novembre 2011
ELLE, Fanny Ardant, ou si vous préférez Joan Didion, l'auteur, est journaliste à «Vogue .. ,la grande presse chic de New York. Avec son mari, John, elle écrit aussi des scénarios de films pour la télé, ce qui leur donne une vie plus qu'aisée.
L'événement est arrivé le 30 décembre 2003 avant le dîner. na avaient finalement décidé de rester dans leur appartement de Manhattan, devant un bon feu de bois. Ils parlaient d'un bouquin sur la guerre de 14 que John était en train de lire quand il s'est affaissé sur lui-même, semblant de faire le mort. « Je pensais qu'il me faisait une blague idiote. " Elle lui a lancé : « Arrête ça ! " Mais ce n'était pas une blague. « Une petite flaque de liquide noir se répandait sous son visage. " Cinq minutes plus tard, deux ambulances étaient en bas. Les réanimateurs ont fait ce qu'ils ont pu. Il était déjà trop tard.
A l'hôpital, elle a tout de suite compris quand les médecins lui avaient délégué le responsable des services sociaux. L'irréversible venait d'avoir lieu. Comment un être de raison, une femme de tête, peut-elle tenir le coup? Un souvenir littéraire de Berkeley l'y aide. Tout d'abord« pour éviter de regarder les choses en face ». Puis c'est« comme une sorte d'ébauche, un premier jet », La scénariste en elle commence à retisser avec minutie ce qui vient de se produire, « à la recherche de l'instant où a pu se glisser l'erreur ". S'il y en a une, John sera de nouveau en vie.
Si elle était juriste, elle chercherait toutes les arguties pour que le verdict inadmissible soit à la fin rejeté. Par exemple: ils n'ont pas abouti dans le bon hôpital. N'importe quoi pour ne pas basculer dans ce que les gens appellent la folie. La perte de contrôle. ils auraient pu, par exemple, se retrouver à l'ancien hôpital de la fac. Leur fille Quintana s'y trouve déjà. « Au sixième étage, aux soins intensifs, plongé dans un coma artificiel depuis le soir de Noël, avec ce qui a commencé comme une grippe ", avant de se révéler être une terrible infection.
Fanny Ardant, seule en scène dans un décor minimaliste, sur un fond de ciel bleu azur, avec une chaise de jardin et une vague barrière en bois qui pourrait être celle de la plage de Malibu, où ils habitaient « avant ", tous les trois.
Avant que Quintana se marie. Elle ne bouge presque pas. Elle n'a pas besoin d'élever le ton tellement tant l'incohérence est évidente. Des bribes de souvenirs de querelles avec John refont surface. Des souvenirs de la plage quand il fallait brosser les cheveux de Quintana, qui disait à son père : «Je t'aime plus encore qu'un jour de plus. » Ce qu'il lui a répété tout à l'heure, quand ils sont passés lui rendre visite aux soins intensifs, au cas où elle pourrait entendre. Et cette femme pétrifiée sur la scène, raidie par le vertige, veut pouvoir se dire : « J'ai géré la situation. » Mais ce n'est pas possible.
Et la nécrologie à envoyer aux journaux? Et leur agent qui veut rester dormir chez elle pour qu'elle ne soit pas seule? Mais ce n'est pas possible. « Que les choses soient bien claires ... Je ne suis pas prête à accepter la nouvelle comme une version définitive : à un certain niveau, je considérais que le scénario nécessitait encore des retouches. C'est pour ça que je devais rester seule. " Cependant s'impose le grand doute : « Peut-être qu'il faut du temps pour que les gens reviennent. " C'est ainsi que commença pour elle « l'année de la pensée magique ». Comme chez les animistes qu'ils étudiaient en anthropologie, où l'on peut être à la fois mort et pas mort, où l'on peut, dans tous les cas, revenir du grand voyage.
Troublée, troublante, la grande
actrice, souriante, bouleversante, réussit, avec l'aide du metteur en scène, Thierry Klifa, à nous dire ce qui se passe en nous lorsque le seuil de la douleur que nous pouvons tolérer est dépassé. « On sait tous que si nous voulons vivre vient un moment où l'on doit se défaire de nos morts, les laisser partir. Les laisser devenir la photo sur la table de nuit. » Bien sûr, bien sûr. En attendant, c'est une soirée vraiment magique.
Bernard Thomas
• Au théâtre de l'Atelier, à Paris.

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 21:27
L’art est  est une production de la liberté, au contraire, la nature produit de façon mécanique

 

Les neuf arts 

À la fin du XXe siècle, la liste suivante se trouve bien établie et stabilisée à neuf, à l’image du nombre des Muses antiques :

  • 1er art : l’architecture
  • 2e art : la sculpture
  • 3e art : la peinture
  • 4e art : la musique
  • 5e art : la poésie
  • 6e art : la danse, le mime, le théâtre et le cirque, aujourd’hui les « arts de la scène »
  • 7e art : le cinéma
  • 8e art : la radiodiffusion, la télévision et la photographie, regroupées en « arts médiatiques »
  • 9e art : la bande-dessinée.

 

Les neuf muses

 

  • Calliope : la poésie épique
  • Clio : l’histoire
  • Érato : la poésie érotique et lyrique
  • Euterpe : la musique
  • Melpomène : la tragédie
  • Polymnie : la pantomime, la rhétorique et les chants religieux
  • Terpsichore : la danse et le chant choral
  • Thalie : la comédie
  • Uranie : l’astronomie et la géométrie.
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Présentation

  • : Le Telegraphe - k5
  • : Le Télégraphe-K5 a pour signature Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Son trait (-) éditorial: rebondir simplement sur un événement local, national, mondial, spatial pour partir en quête d’une information venue de l'espace-temps, la partager pour que le ciel de notre entendement soit moins sombre. Son (.) point d'honneur: Faire monter à la surface, ces pierres bien ensevelies sous terre, afin de faire surgir l'Eureka qui permet de donner sens au non sens!
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Vous qui nous visitez, aujourd'hui, sachez que  « Le Télégraphe – K5 », n'a pas de couleurs politiques, ni  d’esprit partisan, il est sans intention, il imprimera sur la toile, tout simplement pour partager une intuition, une prise de conscience, des petits cailloux… Et comme le petit Poucet de nos contes d'enfance, il cherchera de grands arbres au cœur de la  forêt pour se hisser plus haut et voir plus loin, non pas pour être plus Grand mais simplement pour remonter dans le temps et n’être pas englouti par l’Ogre de l’instant, le Buzz, du moment, le bourdonnement d'un jour. C’est un télégraphe, un  sémaphore, un pigeon voyageur, une fumée pour prévenir au cœur de la jungle, un écho pour porter entre les cimes, une oreille attentive et impartiale au diapason du monde… Porte voix, il sera , modeste et pourtant bien là,  pour porter sur une autre rive  l’écho de la Beauté – de la Force – et de la Sagesse, levier ou levain de la connaissance… Alchimie, harmonie, plaisir de dire tout simplement que le Beau existe, que la Force sans beauté n'est pas un levier mais simplement une poussée et que la Sagesse sans force est difficile à acquérir car pour s'extraire du château que forme notre EGO, il faut avoir autant de force que pour naître... N'hésitez pas à nous visiter et  donner vos commentaires pour apporter votre pierre à l'édifice... notre ciel sera alors moins obscure et notre fréquence autre!

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